vendredi 28 février 2014

troube dans la famille Clinton

Environ 3.500 pages de documents de la présidence de Bill Clinton dans les années 1990 et du bureau de son épouse Hillary ont été rendues publiques vendredi par les Archives nationales américaines, suscitant le vif intérêt du monde politique.
Les adversaires du couple Clinton, et en particulier ceux qui craignent qu'Hillary Clinton ne se présente à l'élection présidentielle de 2016, devraient disséquer chaque note à la recherche de faits éventuellement compromettants ou embarrassants, notamment relatifs aux scandales qui ont marqué la présidence du démocrate.
Une organisation politique anti-démocrates et anti-Hillary Clinton, America Rising PAC, a indiqué sur Twitter qu'elle se trouvait dès vendredi à la Bibliothèque présidentielle Clinton dans l'Arkansas (sud) pour examiner les volumineuses archives papier.
Hillary Clinton, en tant que Première dame, a joué un rôle politique important aux côtés de son mari, notamment lors d'une tentative ratée de réforme du système de santé.
Documents classifiés
Parmi les thèmes des documents publiés vendredi figurent la lutte contre Al-Qaïda et la réforme de la santé. Des centaines de notes confidentielles et des archives d'une des plumes du président font aussi partie du lot rendu public, montrant le processus d'écriture des discours de Bill Clinton.
En tout, environ 25.000 pages doivent être progressivement publiées sur internet par la Bibliothèque présidentielle Clinton, qui opère sous l'autorité des Archives nationales, selon le journal Politico.
Les présidents américains peuvent empêcher la publication de documents confidentiels pendant les 12 années suivant la fin de leur mandat. A l'issue de cette période, les documents peuvent être publiés, mais chacun doit être examiné et déclassifié individuellement, pour des raisons de sécurité nationale notamment.

mercredi 12 février 2014

l'ambassadeur de la Hollande au Sénégal en face à face avec les étudiants du CESTI



Son excellence monsieur Pieter ZWAAN, ambassadeur des Pays-Bas au Sénégal, a été ce 29 / 01 / 2014, L’invité de Cesti, dans le cadre de son traditionnel carrefour d’actualité. De son petit pays, devenu fleuron économiques   aux questions d’homosexualité via le déficient amour entre l’Afrique et  la CPI, il a fait le tout d’horizon de toutes ces questions.
De son air décontracté, il a tenu d’emblée, a présenté  son pays de 17 millions d’habitants, 2ème puissance mondiale en termes d’exportation de produit agricole, 6ème bailleur de fond au monde, 16ème puissance économique mondiale.
Revenant au rapport entre son pays et l’Afrique, et particulièrement le Sénégal, il  tenu a rappeler que le nom « Gorée » de la maison des esclaves,  lui a été assigner par son pays, qui signifier « bon port ». Également sur le fait que la Hollande  est le 10ème pays à reconnaitre l’indépendance du Sénégal.
Les Pays-Bas connu pour un être un des pays les plus libéraux au monde,  est l’un des tout premiers défenseurs de l’homosexualité.  Faisant l’apologie de cette nouvelle donne (homosexualité), son excellence affirme qu’ : « En Europe, on ne peut pas pénaliser quelque chose quand il n’y a pas de victime ». Donc, plaidant au livre cours de telles pratiques (même heurtant certaines pratiques culturelles). 
Sur le plan économique, il a fait une analyse rapide de la question du moment qui fâche, a savoir les résultats  du Doing Business 2013. D’abord les causes d’un classement aussi peu reluisant : un marché de travail très inflexible, des syndicalistes virulents, l’accès difficile au foncier, la corruption, la barrière de la langue, et l’absence de CDD illimité.
Et ce classement met sérieusement en mal l’avenir du système économique Sénégalais. Car selon lui, un investisseur ne vient pas parce qu’on lui dit de venir. Mais l’investisseur regarde plutôt de manière objective le climat social, politique et économique des pays. Voire en se fondant sur certain rapports (Doing Business, Mo Ibrahim, Amnesty International).
Enfin, il n’a pas manqué de donner des conseils pour améliorer certains secteurs tels que le tourisme qui doit selon lui recevoir des investissements afin d’améliorer la qualité du service à l’aéroport, revoir le visa et la très haute taxe aéroportuaire. Mais aussi n’a pas manqué d’inviter les autorités et partenaires à axer la coopération sur l’environnement, le financement de petits projets.