Son excellence monsieur Pieter ZWAAN, ambassadeur des Pays-Bas au
Sénégal, a été ce 29 / 01 / 2014, L’invité de Cesti, dans le cadre de son
traditionnel carrefour d’actualité. De son petit pays, devenu fleuron
économiques aux questions
d’homosexualité via le déficient amour entre l’Afrique et la CPI, il a fait le tout d’horizon de toutes
ces questions.
De son air
décontracté, il a tenu d’emblée, a présenté
son pays de 17 millions d’habitants, 2ème puissance mondiale
en termes d’exportation de produit agricole, 6ème bailleur de fond
au monde, 16ème puissance économique mondiale.
Revenant au
rapport entre son pays et l’Afrique, et particulièrement le Sénégal, il tenu a rappeler que le nom
« Gorée » de la maison des esclaves,
lui a été assigner par son pays, qui signifier « bon port ».
Également sur le fait que la Hollande est
le 10ème pays à reconnaitre l’indépendance du Sénégal.
Les Pays-Bas
connu pour un être un des pays les plus libéraux au monde, est l’un des tout premiers défenseurs de
l’homosexualité. Faisant l’apologie de
cette nouvelle donne (homosexualité), son excellence affirme qu’ :
« En Europe, on ne peut pas pénaliser quelque chose quand il n’y a pas de
victime ». Donc, plaidant au livre cours de telles pratiques (même
heurtant certaines pratiques culturelles).
Sur le plan
économique, il a fait une analyse rapide de la question du moment qui fâche, a
savoir les résultats du Doing Business
2013. D’abord les causes d’un classement aussi peu reluisant : un marché
de travail très inflexible, des syndicalistes virulents, l’accès difficile au
foncier, la corruption, la barrière de la langue, et l’absence de CDD illimité.
Et ce
classement met sérieusement en mal l’avenir du système économique Sénégalais.
Car selon lui, un investisseur ne vient pas parce qu’on lui dit de venir. Mais
l’investisseur regarde plutôt de manière objective le climat social, politique
et économique des pays. Voire en se fondant sur certain rapports (Doing
Business, Mo Ibrahim, Amnesty International).
Enfin, il
n’a pas manqué de donner des conseils pour améliorer certains secteurs tels que
le tourisme qui doit selon lui recevoir des investissements afin d’améliorer la
qualité du service à l’aéroport, revoir le visa et la très haute taxe
aéroportuaire. Mais aussi n’a pas manqué d’inviter les autorités et partenaires
à axer la coopération sur l’environnement, le financement de petits projets.
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